Category: Articles

Pour réaliser le plein potentiel de la PrEP : accroître la sensibilisation et élargir l’accès

La PrEP a beau être un outil très efficace pour prévenir le VIH, elle reste sous-utilisée dans de nombreuses populations qui pourraient en bénéficier. Afin de tirer le maximum de la PrEP pour réduire considérablement le nombre de cas de transmission du VIH au Canada, il est urgent d’accroître son utilisation et d’en élargir la portée. Fait prometteur, la PrEP a contribué à réduire le nombre de nouveaux cas de VIH parmi les hommes gais, bisexuels et autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (gbHARSAH), qui constituent la grande majorité des personnes utilisant actuellement la PrEP au Canada....

Pour en savoir plus...

Un remède puissant : sept ans plus tard

En 2018, CATIE et CAAN (Communities, Alliances & Networks) ont sorti Un remède puissant, un film par et pour des personnes autochtones vivant avec le VIH. Le court métrage combine les connaissances autochtones sur la culture et le bien-être avec les connaissances occidentales sur le dépistage et le traitement du VIH. En racontant leurs expériences avec les médecines autochtones et occidentales, huit militant·e·s autochtones nous enseignent que le VIH ne doit pas être craint et nous montrent différentes façons d’avancer sur le chemin de la guérison.  Sept ans après la sortie du film, CATIE s’est entretenu avec deux de ses...

Pour en savoir plus...

L’utilisation de la PrEP à la demande parmi les hommes gbqHARSAH : perspectives issues de l’étude PRIMP

De nombreux hommes gais, bisexuels, queers et autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (gbqHARSAH) pourraient bénéficier d’une prophylaxie pré-exposition (PrEP) pour prévenir la transmission du VIH. La PrEP désigne la prise de médicaments antirétroviraux par des personnes séronégatives afin de réduire leur risque de contracter le VIH. La PrEP est très efficace et son utilisation peut être quotidienne ou à la demande – en suivant la posologie 2-1-1, qui offre une avenue de rechange. La posologie 2-1-1 consiste à prendre deux comprimés de deux à 24 heures avant le sexe, un comprimé 24 heures après cette première dose et un autre...

Pour en savoir plus...

Du plaidoyer à la célébration : une journée d’hommage aux travailleur·euse·s du sexe

L’icône de l’anarcha-féminisme Emma Goldman n’a jamais dit « Si je ne peux pas danser, je ne veux pas de votre révolution » – c’est bien connu. Pourtant, cette déformation de ses paroles persiste. Peut-être parce que l’affirmation trouve écho auprès de plusieurs d’entre nous qui travaillons pour la justice sociale. L’idée était assurément présente à l’esprit du Global Network of Sex Work Projects au moment de lancer en 2019 la Sex Worker Pride [Fierté des travailleur·euse·s du sexe] – une journée mondiale annuelle pour les droits des travailleur·euse·s du sexe. En mettant l’accent sur la célébration, cette journée – le 14 septembre...

Pour en savoir plus...

Une partie cachée de l’iceberg : lésions cérébrales survenant après une intoxication par les drogues

La crise des drogues contaminées a coûté la vie à des dizaines de milliers de Canadiens et de Canadiennes. Cela dit, les cas d’intoxication (également appelés surdoses) non mortels sont beaucoup plus nombreux que les cas mortels. Les lésions cérébrales sont un méfait moins connu de l’intoxication par les drogues qui peut survenir dans les cas de surdose non mortelle en raison du ralentissement ou de l’arrêt de la respiration et du manque d’oxygène dans le cerveau. Ces lésions cérébrales affectent le fonctionnement du cerveau. CATIE s’est entretenu avec Shanell Twan, directrice adjointe de Streetworks, un programme de réduction des...

Pour en savoir plus...

Réflexions sur 20 ans d’initiatives de réduction des méfaits en Colombie-Britannique

La réduction des méfaits peut se définir de plusieurs façons, mais il s’agit pour l’essentiel d’une démarche fondée sur des données probantes, centrée sur la personne, qui vise à réduire les méfaits associés à l’utilisation de substances. Elle consiste à offrir aux personnes qui utilisent des drogues les ressources nécessaires pour faire des choix plus sains et plus sécuritaires, sans chercher à privilégier l’abstinence. J’ai travaillé dans le domaine de la réduction des méfaits et de l’utilisation de substances pendant 20 ans, et j’ai été pendant 18 ans la responsable médicale de la réduction des méfaits au BC Centre for Disease Control...

Pour en savoir plus...