Les gardiens anti-réduction des méfaits du Canada ferment la porte à la stratégie sur l’hépatite

Nous rentrons tout juste du premier Sommet mondial sur l’hépatite, organisé par l’Alliance mondiale contre les hépatites en partenariat avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Gouvernement de l’Écosse. Le Gouvernement de l’Écosse s’est fait partenaire de cet événement parce que l’Écosse fait preuve de leadership dans la lutte contre l’hépatite C et, à l’opposé du Canada, s’est dotée d’une stratégie nationale de réponse à l’hépatite C.*

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Oh Canada, we’re ready for your leadership

I had the honour of attending the recent and first-ever World Hepatitis Summit in Glasgow, Scotland from September 2-4, 2015. What a treat it was to come together with hundreds of other people from around the globe to discuss the often ignored health issue of viral hepatitis. Here I was, “amongst my people,” talking like crazy about viral hepatitis as if it were important or something. How new and novel, because here in Canada viral hepatitis is the conversation we never have, despite the fact that at least 250,000 Canadians are affected by it.

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Comment communiquez-vous l’information sur le risque pour le VIH?

« Quel est le risque de transmission du VIH lors d’une relation anale sans condom si je suis le partenaire réceptif? » « À quel point le risque de transmission est-il faible si ma charge virale est indétectable? » « Quel est le risque si mon partenaire était en phase d’infection aiguë au moment de notre relation sexuelle? » Il n’est pas facile de répondre à des questions sur le risque pour le VIH. Les récents progrès de notre compréhension de la transmission et de la prévention du VIH ne facilitent d’ailleurs pas les choses!

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Nous vivons une révolution de la prévention du VIH. Où est l’enthousiasme?

Nous sommes en pleine révolution de la prévention du VIH. Au cours des dernières années, nous avons acquis de nouveaux outils et de nouvelles informations pour prévenir le VIH, comme la prophylaxie pré-exposition (PrEP) et le fait de savoir qu’une charge virale indétectable réduit considérablement le risque de transmission. Alors où est l’enthousiasme, en particulier dans les communautés les plus durement frappées par le VIH? Au Canada, les hommes gais et bisexuels ont 71 fois plus de chances de contracter le VIH que les autres hommes. Pourquoi les organismes qui desservent les hommes gais ne sont-ils pas plus nombreux à...

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Des pratiques éclairées : Une approche autochtone à l’assemblée annuelle

Récemment, j’ai eu la chance d’assister à l’événement annuel du Réseau canadien autochtone du sida (RCAS), qui combinait leur assemblée annuelle, une réunion des personnes autochtones vivant avec le VIH/sida (caucus APHA), une conférence sur le renforcement des capacités et sur les « pratiques éclairées » et la conférence de recherche du Aboriginal HIV & AIDS Community-Based Research Collaborative Centre du RCAS. L’événement a rassemblé des Autochtones de partout au Canada participant à la réponse au VIH et à l’hépatite C. Même si j’y participe presque chaque année, ces rassemblements ne cessent de me captiver et de m’émouvoir.

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La Conférence IAS 2015 : un moment décisif pour la réponse au VIH

La ville de Vancouver a été sous les feux de la rampe une fois de plus. La Conférence de la Société internationale du sida (IAS), cette année, vient possiblement de marquer un tournant pour notre réponse au VIH, ce qui n’est pas sans rappeler le Congrès international sur le sida de 1996 dans la même ville, et lors duquel les thérapies antirétrovirales (TAR) ont fait leur apparition sur la scène mondiale.

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