Test de détection de l’ARN du VHC au point de service — solution quant aux diagnostics d’hépatite C

L’hépatite C est une infection virale qui peut causer des lésions et la formation de cicatrices au niveau du foie et rendre une personne très malade si elle n’est pas traitée. Près d’un quart des personnes qui ont déjà eu l’hépatite C au Canada ne savent pas qu’elles en sont atteintes; il est donc essentiel d’augmenter le dépistage si le pays veut éliminer l’hépatite C en tant que menace pour la santé publique d’ici 2030. Les progrès réalisés au cours des dernières années sont considérables et les outils disponibles pour le dépistage du virus n’ont jamais été aussi nombreux. La détection de l’ARN...

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Combattre les idées fausses : le traitement de l’hépatite C pour les personnes qui utilisent des drogues

Depuis l’avènement des traitements par antiviraux à action directe (AAD), un très grand nombre de personnes ont été guéries de l’hépatite C au Canada. Toutefois, la circulation d’informations inexactes ou désuètes nuit aux efforts pour guérir des personnes dans certaines des communautés les plus affectées. Par exemple, alors que de nombreuses réussites dans la guérison de l’hépatite C ont été possibles grâce à la détermination de personnes qui utilisent des drogues, ces dernières continuent de rencontrer des obstacles dans l’accès au traitement, en raison de la discrimination et d’idées fausses concernant leur admissibilité. Pour remédier à ces lacunes, il faut accroître la...

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Pour en finir avec les mythes entourant le traitement de l’hépatite C au Canada

Depuis 2014, des médicaments très efficaces, appelés antiviraux à action directe (AAD), ont été approuvés au Canada pour le traitement de l’infection par le virus de l’hépatite C chez les personnes de 18 ans et plus. Ces médicaments sont bien tolérés et efficaces à près de 100 %, et la durée du traitement n’est que de huit ou douze semaines. Les AAD ont grandement simplifié le traitement de l’hépatite C, de sorte que celui-ci peut désormais être prescrit par des prestataires de soins primaires, comme les infirmier·ère·s praticien·ne·s et les médecins de famille. Maintenant que le traitement est simplifié, l’aspect le plus...

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Une conversation entre la Dre Theresa Tam et Jade Elektra

L’expression « indétectable = intransmissible » (I = I) fait référence au consensus scientifique selon lequel le VIH ne peut pas être transmis sexuellement lorsqu’une personne vivant avec celui-ci suit systématiquement un traitement antirétroviral (TAR) et que la quantité de VIH dans son sang demeure très faible — si faible qu’elle ne peut pas être détectée par de nombreux tests standard de dépistage. Si le message I = I habilite les personnes vivant avec le VIH et réduit la stigmatisation associée au virus, il n’est efficace que si les personnes vivant avec le VIH sont en mesure de prendre leurs médicaments de manière continue. Certaines personnes...

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Résultats de l’étude Engage : efficacité et utilisation du vaccin contre le VPH chez les hommes gais, bisexuels et autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes

Le papillomavirus humain (VPH) est un virus très répandu qui se transmet le plus souvent par contact sexuel. Le corps élimine de lui-même la plupart des infections par le VPH, mais certaines peuvent persister. Il existe de nombreux types de VPH. Certains peuvent causer des cancers, notamment de l’anus, du col de l’utérus et de la bouche. D’autres causent des verrues anales et génitales. On ne peut pas guérir le VPH par des médicaments, mais la vaccination peut prévenir l’infection par certains types de VPH. Tous les vaccins offrent une protection contre les deux types de VPH en cause dans...

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